« Park Ah Ri »
messages : 27 date de naissance : 13/08/1991 here since : 03/04/2010 my age : 32
| Sujet: ▬ Park Ah Ri ♥ Dim 4 Avr - 0:28 | |
| Park Ah Ri Comes to discover whom I am
| NOM: Park PRÉNOM: Ah Ri ÂGE: 18ans ORIENTATION: Hétérosexuelle PARTICULARITÉ: Elle se mord souvent la lèvre. GROUPE: Cuties AVATAR: Song Ah Ri PRÉ-DÉF?: Non :)
|
about who i playPhysique : Ah Ri s'habille comme bon lui semble. Elle se vêtit de façon à ce qu'elle soit bien à l'intérieur de ce qu'elle porte, mais elle n'enfile pas n'importe quoi, elle reste tout de même à la mode. Elle adore les nouveautées et le changement. Elle aime bien aussi s'habiller parfois différement des autres pour montrer qu'elle est ... Unique, qu'il n'y a pas deux comme elle, mais comme évidence, elle reste toujours habiller avec classe. Des camisoles féminine pour le sport, des t-shirts, parfois des vestes, mini short, robe ou jupe tout dépendemment de la température. Elle porte souvent des mini short lorsqu'elle fait du sport. Elle chausse des bottines, ballerines, bottes, basket de toutes sortes adore porter des bracelets, collier, lunettes de soleil, bonnet etc... Ensuite son apparence: Ah Ri à toujours été qualifié comme quelqu'un étant très jolie. Avec un visage aussi angélique et tombeur que le sien, on ne peut pas rajouter franc chose au mot "jolie". Des cheveux d'un brun foncé qu'on pourrait comparer à un noir sombre sont portés longs quand ils ne sont pas chatain. Il a de beau petit yeux en amande, brun foncé, un nez fin et assez long et une bouche finement dessiné portant des lèvres à la fois pulpeuse et mince. Elle est petite, mince mais a de belles formes ou il faut. Sa peau est bazané et douce. Disons qu'elle est ... Attirante ? :$ Caractère : Si nous devions faire une liste de tous les défauts et qualités de la jeune femme elle serait sans doute interminable. Comme tout le monde elle a des défauts, mais surtout des qualités. Elle est très gentille et marrante les qualités de bases on va dire et les plus nécessaires. Mais elle est aussi très compréhensif. Elle n'aime pas les personnes hypocrites et les amis "Pour intérêt" on va de. Elle a horreur de ça ! Vous savez, les gens qui ne se souviennent même pas de votre nom mais quand ils ont besoin de vous ils viennent faire les léches. Parfois elle s'en fiche et les laisse tomber, mais parfois ça ne passe pas. Elle ne supporte pas les hypocrites, mais trouvent que les narcissiques sont assez marrant ! Elle est le genre de fille qui sourit tout le temps mais qui est très jalouse, ce qui est à elle est à elle donc DON'T TOUCH. La curiosité est un vilain défaut lui a-t-on toujours répété mais elle ne peut pas s'en empêcher .. Les principales qualités de Ah Ri : Nous savons tous que la perfection n'existe pas cependant certains pourrait l'atteindre. RiRi est une jeune femme amusante même si ces blagues ne font pas toujours rire. Elle adore faire rire les autres. Optimiste, elle fait tout pour rendre le sourire à ceux qui l'entoure et plus particulièrement à ses amis à qui elle tient plus que tout. C'est une petite fille gentille comme la plupart des personnes, mais surtout très à l'écoute des autres. Elle est une sorte de journal intime mais qui ne révélera jamais ce qu'elle sait. Elle est aussi très compréhensif mais pas envers tout le monde. Elle est aussi quelqu'un d'assez intelligente .. Ce qui plait le plus aux autres : Son comportement parfois immature et surtout son optimisme. Toujours souriante, elle est le genre de fille à sourire pour essayer de rendre la vie des autres belles même si la sienne ne l'est pas. Maintenant ses principaux défauts : Comme chaque humain présent sur cette terre, RiRi a des défauts. Elle n'est pas ce genre de fille narcissique ou égocentrique qui croit que le monde ne tourne qu'autour d'elle, non elle n'est pas comme ça. Elle est ue personne qui est un peu trop curieuse au goût des autres. Elle aime bien tout savoir sur tout le monde et pose parfois les questions qu'il ne faut pas poser ce qui a tendance à énerver ses camarades. Elle n'aime pas quand il y a des blancs dans les discussions et donc se met à raconter tout et surtout n'importe quoi mais bon est ce vraiment un défaut ? Notre petite Ah Ri est une enfant qui a peur de grandir. Il lui arrive de faire la gamine et d'avoir un comportement immature. Son plus grands défauts restent sans doute la jalousie. Histoire : Prologue « Tout commença ainsi … »Un bébé, n’est ce pas la plus belle chose au monde ? Un petit être qui arrive dans notre vie, qui nous comble de bonheur et d’amour en un temps records, qui malgré des cris et des larmes insupportables améliore considérablement nos vie, n’est ce pas ce qu’il y a de plus merveilleux ? Il faut dire que Na Yung n’y avait jamais songé, loin de penser aux couches culottes, et aux biberons, elle vivait une adolescence ordinaire. Jeune fille d’une famille modeste, elle se contentait d’être une lycéenne ordinaire, très entourés de ses amis. Mais voilà, il arrive un âge où les garçons deviennent un centre d’intérêt, bien entendu, la jolie brune ne pensait pas que cela était pour elle, pourtant, elle fit la rencontre de Dong Chul, un jeune homme qui la fit littéralement changer d’avis sur la question. Le coup de foudre, l’amour, le grand, le beau, n’est ce donc pas cela le bonheur ? Il faut dire qu’entre les deux jeunes gens se fut rapidement un conte de fées et que Na Yung s’épanouissait dans les bras du jeune homme, jusqu’à lui offrir pour une occasion particulière, son anniversaire, sa virginité. Mais rapidement, l’amour entre les deux jeunes gens changea radicalement. Oui, Dong Chul n’était pas amoureux, simplement fin joueur et beau parleur et lorsque Na Yung apprit ne pas être la seule dans sa vie, après des journées entières de souffrance et de pleurs, elle n’eut d’autres choix que de prendre une décision qui bouleverserait sa vie, le quitter, définitivement, l’oublier. Elle méritait bien mieux, c’est ce que tous lui disaient, en permanence. Oui, elle voulait passer à autre chose, simplement. Alors lorsqu’elle eut des crampes de ventre deux mois après leur dernière entrevue, et qu’elle atterrit chez le médecin, elle fut surprise d’apprendre que leurs ébats avaient conduits à une toute nouvelle chose, un enfant. C’est une belle journée d’automne, que la jeune maman apprit pour sa grossesse. Au début, ses parents ne comprenaient pas, ne voulaient pas qu’elle ait un enfant, mais sa détermination à donner vie à ce petit bout qui faisait déjà entièrement partie d’elle finit par les convaincre. Certes, tout serait bien plus dur, certes, sa mère la trouverait irresponsable et immature dans ses décisions, mais c’était sa décision et il aurait été impossible de la faire changer d’avis. C’est enceinte de deux mois qu’elle entama sa rentrée. Bien sûr, tout ne fut pas simple, comment savoir si l’on ne commet pas une erreur à cet âge là ? Comment être sûr ? Et surtout, devait elle en parlait à Dong Chul ? Elle n’en avait tout simplement aucune idée, elle se focalisa durant sept longs mois sur une chose, sa santé et celle de son enfant. Elle rencontra durant cette période un jeune homme d’une gentillesse incroyable, quelqu’un de doux et de différent de Dong Chul, qui lorsqu’il apprit la nouvelle, ne partit pas en courant. Au contraire, le jeune étudiant décida même de rester dans la vie de Na Yung et de prendre cet être qui allait naître comme son propre enfant. Autant dire que la jeune femme ne jugea pas utile de prévenir Dong Chul. Sa vie prenait un nouveau tournant, celui d’un bonheur à deux, à trois même. Et c’est dans les bras d’un certain Min Suk qu’elle s’épanouit. Ce fut d’ailleurs lorsqu’ils se baladaient tout deux, tard le soir, dans un des parcs de la ville, qu’elle perdit les eaux. Tel un homme responsable, Min Suk ne mit pas longtemps avant de conduire la belle à l’hôpital le plus proche. Serrant les jambes, hurlant pour se rassurer à son enfant qu’il ne sortirait pas avant l’arrivé à l’hôpital, Na Yung fut preuve d’un courage à toute épreuve cette nuit là. Et sur le coup de six heures du matin, la douleur s’estompa brutalement, laissant place à un bonheur sans nom, à une joie immense pour la jeune maman, celui de voir son enfant au creux de ses bras, de le regarder pleurer, de le serrer contre elle. Min Suk à ses côtés, les deux amoureux vivaient l’un des moments forts de leur vie, le plus beau sûrement … Chapitre 01 « Une enfance douce, en apparence … »Ah Ri, ce fut ce prénom magnifique que Min Suk et Na Yung choisirent pour ce petit bout déjà si beau qu’il était sûre que tout les garçons ne lui résisteraient pas. La jeune maman eut son bac, tout en s’occupant du magnifique bébé et lorsqu’ils purent enfin emménager ensemble, ils le firent dans le plus grand bonheur. Min Suk était un homme présent et attentionné, autant dire que c’était l’homme de la vie de la jeune femme, c’était certain, il aimait par-dessus tout la petite fille qui pourtant n’était pas le sien, et tout aurait put être si parfait, si simplement une autre personne s’était tenu à l’écart. Oui, alors que la petite fille n’était encore qu’un bébé, marchant toujours à quatre pattes pour découvrir le monde, quelqu’un toqua à la porte de la jeune mère qui se hâta d’aller ouvrir. Mais quelle fut sa stupéfaction lorsqu’elle rencontra le regard du jeune homme qui avait été son premier amour, le premier à avoir fait naître une étincelle en elle, le premier à l’avoir tant déçue et blessé. Autant dire qu’une vague de souvenir l’envahit, elle n’eut pas le temps de refermer la porte sur lui avant qu’un petit visage angélique ne s’accroche à sa jambe. Ah Ri baissa les yeux sur ce petit être aux traits si assimilables aux siens. Il n’y croyait pas ses yeux, il fut envahit d’un sentiment d’incompréhension, de colère. Comment avait elle simplement osé. Cela ne pouvait être que son enfant, c’était si évident. Et lorsque Na Yung se mit à pleurer sans pouvoir se contrôler, il en eut la confirmation, c’est en l’insultant de tout les noms qu’il descendit la cage d’escalier plus vite encore qu’il ne l’avait monté. Na Yung venait sûrement de le voir pour la dernière fois de leurs deux vies, mais elle se trompait. Quelques jours après, le père biologique de Dong Jae revint et voulut avoir ses droits sur le petit garçon. Malgré les réticences de la jolie brune, elle ne put se résigner à priver cet enfant de son vrai père, c’est ainsi que Donngie put assister à l’évolution de son fils, put assister à chaque étape importante de sa vie, sa première rentrée à l’école, sa première bagarre à l’école, sa première inscription en club de sport, mais voilà, lorsque Dong Chul rencontra une superbe américaine qui lui proposa d’aller vivre à Los Angeles avec elle pour devenir célèbre, il ne put refuser et abandonna son fils sans aucune réticence. Il s’enfuit, et ne donna plus jamais de nouvelles, le petit Donngie, à cette époque âgé de douze ans regarda simplement son père l’abandonner une seconde fois. Mais cette fois ci de son plein gré. Il tenta de ravaler ses larmes et excella en sport pour contenter le manque affectif. Mais heureusement sa mère et celui qu’il considérait comme son beau père ne l’abandonnèrent à aucun moment. Chapitre 02 « Il y a des tragédies dans la vie … »Les mois défilaient, les années passaient, le jeune homme était d’une gentillesse remarquable, et il adorait jouer au basket, d’ailleurs, il avait une compétition dans une ville lointaine un week end de printemps. Et il s’y rendit, embrassant avant son départ sa mère et Min Suk. Mais voilà, lorsqu’il revint, deux jours plus tard, il trouva la maison vide. Il ne fallut que quelques heures avant que l’on vienne frapper à la porte de l’immense villa dans laquelle il vivait. A seulement quinze ans, il venait de perdre sa mère dans un accident de voiture ainsi que le compagnon de celle-ci qui au fil du temps était devenu son père adoptif. La police ne lui laissa pas de choix, il ne pouvait rester seul, ils contactèrent alors son père. L’homme était dans une ville éloignée, accompagnée d’une énième conquête. A quinze ans seulement, Donngie boucla tous ses cartons pour rejoindre sous la contrainte son père loin de ses amis, loin de ses habitudes, loin de sa vie, loin de Séoul sa ville natale. C’est à New York, qu’il finit par arriver. Ses rapports avec son père restèrent complètement basiques, un au revoir, un bonjour et surtout, rien de plus .. Chapitre 03 « Rien n’est encore écrit … »Si l’on fait le bilan de la vie du jeune homme jusqu’à maintenant, c’est un parcours tumultueux, avec l’absence d’un père biologique, puis sa présence et à nouveau son absence avant la mort de celle qu’il aimait plus que tout. On peut dire que c’est ce qui fait du jeune homme ce qu’il est aujourd’hui, cet étudiant en cuisine. Il espère réussir ses études de musique mais pourtant n’y met pas tant de volonté que l’on pourrait le croire, ses notes sont pourtant très bonne. Il ne fait rien pour avoir ce qu’il désire. Mais dans le fond, il le sait parfaitement, il est le seul maître de son destin et il est de son devoir d’obtenir ce qu’il veut .. Dong Jae est revenu vivre à Séoul il y a seulement deux ans. about my real selfPSEUDO: Yaya ÂGE: 15ans COMMENT VOUS ÊTES ARRIVÉ ICI: Huum je sais plus trop :s PRÉSENCE SUR LE FORUM: Environ 5/7 (a) AUTRE: Le design est magnifique *o* ! DOUBLE COMPTE: Nop ! EXEMPLE RPG: - Spoiler:
Je ne pouvais m’empêcher de regarder son corps dans cette robe noire. Elle savait qu’elle était sexy, et elle savait également que je le pensais ce qui devait lui procurer une certaine satisfaction. Je pense même qu’elle devait aimer cette impression d’être au centre d’intérêt de tous les hommes de ce bar. Les voir tourner leurs têtes de leurs femmes pour ne regarder qu’elle. Cela devenait lui pourvoir une sensation d’importance et renforcer son estime personnelle. Je m’efforçais de détacher mon regard de ses épaules nues. Ces simples épaules dénudées laissaient à désirer son corps tout entier et je sentais monter en moi un zéphyr chaud. Une vague de chaleur que certains appellent désir me prenait et me forçait à baisser la tête.
Quand je lui fit remarquer de manière impolie et sarcastique, le qu’elle était seule, encore. Elle me répondit simplement « Figure-toi que je préfère encore rester toute seule, que te voir me tenir compagnie ! » Sa répartie m’amusa et je ne pus m’empêcher de lâcher un grand sourire. Je décidais d’ignorer sa remarque et de lui répondre simplement « merci, moi aussi je t’aime » avec une certaine ironie. J’avais pris l’habitude de toujours répondre le contraire de ce qu’elle attendait. Si elle me disait qu’elle me haïssait, je lui répondais que je l’aime. Si elle me disait qu’elle voulait que je m’en aille, je lui répondais que je me ferais un plaisir de rester vu que c’était demandé si gentiment. C’était un cercle vicieux. Et même si elle essayait toujours d’anticiper mes répliques, je savais également me trouver malin et préventif. Malgré cela, Daphnée trouvait le moyen de me casser, et moi le moyen d’ignorer ses remarques.
Je bus une nouvelle gorgé de ma vodka en regardant la piste de danse bondée. Les gens continuaient à se mêler sur une danse et ne formant plus qu’un seul corps. Tous se mouvant, ne formaient sur cette chanson, un seul être animé. Je regarde Raphaëlle et Maxime danser ensemble. Les voir ensemble crée chez moi une sorte de dégoût amer. On dirait deux enfants, ignorants leurs actes et continuant à jouer ensemble sans comprendre ce qu’ils avaient accomplis. Parfois il m’arrivait de vouloir ouvrir les yeux de Raphaëlle, mais je sais que de cette vérité, je dois l’a protéger. La protéger de ses souvenirs, c’est absurde. Certes, elle avait couché avec le meilleur ami de son petit ami, mais ce n’était pas à moi de dire à Guillaume la vérité. Mais si ce n’est pas à moi, et qu’ils ne se souviennent plus, qui devra rétablir la vérité ? Peut-être que la vérité n’a pas à être établi et qu’elle doit rester dans l’abîme de l’inconnu. Si vous saviez comme vous m’avez rendu complice de vos actes. Je me sens plus coupable que vous deux réunis alors que vos consciences sont vide comme le blanc de la neige. « Le bon dieu doit certainement être avec moi... » Dit-elle sur un ton plutôt hautain et ironique. Cela me fit sortir de mes pensés, je lui jeta un coup d’œil mais elle continuait à m’ignorer faisant mine que je n’étais pas là. Le bon dieu, songeais-je.
Pour moi, Dieu et toute sa bande, ne sont que des balivernes, des faux espoirs que se donnent l’homme. L’homme est juste trop couard pour admettre que quand on est mort, les insectes vous mangent et que après vous devenez poussières. L’homme a besoin d’espérer car cet espoir le fait vivre. Mais si ce Dieu, dont vous parlez existe vraiment, que fait-il ? Il regarde sur son trône le sillage des hommes. Dans le fond Dieu ne vaut-il pas mieux que Satan. Le paradoxe est que je n’associe par le mot « dieu » avec le mot « bon ». Dieu est notre excuse, notre prétexte, notre coupable. C’est pour lui que nous mourrons dans les guerres de religion, c’est pour lui que nous nous entretuons, c’est lui et rien que lui. Comme si un être que nous n’avons jamais vu, pouvait porter sur ces épaules toutes les douleurs d’un monde osseux, meurtri et bagnard. « c’est donc également grâce à ce cher bon dieu, que tu as la chance de me retrouver dans ce bar » lui répondis-je une fois de plus avec ironie. Une ironie montrant que dieu ne portait en effet aucune chance du tout. Je la regarde pour la première fois dans les yeux avec un léger sourire en coin. Même si je me force à faire le fier, je dois admettre qu’elle a quelque chose de touchant. Je ne parle pas de son décolleter, elle a quelque chose de plus dans son regard qui faisait qu’elle valait plus que n’importe quelle femme. Un éclat clair et orangé qui fait toute la différence et qui la rend femme de charme. Comme pour me désemparer de son emprise, j’abordais un nouveau sujet :« sinon je ne t’ai pas trop manqué pendant cette semaine ? » lui demandais-je une nouvelle fois avec ironie et détachant mon regard du sien.
Dernière édition par Park Ah Ri le Dim 4 Avr - 1:15, édité 2 fois |
|