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Vous avez surement déjà vu la tête de Manami, si vous trainez dans les derniers rayons des librairies ou si vous levez la tête pour voir les magazines des dernière étagère, où souvent les couvertures et le contenue n'es fait que pour les adultes. Il y'a deux types dans ces magazines ; Les hard, et les normaux, Manami apparaît principalement dans les normaux. Eh oui, c'est en maillot sous des positions louches qu'elle apparaît souvent sur les couvertures de ces magazines presque pornos. On va dire, qu'elle ne l'a pas vraiment choisit. Commençons au début. C'était un 31 mai, vers les quatre heures du matin. Une certaine bonne femme était couchée dans ces lits blancs où souvent les cris ne sont pas sourds et où plus de cinq infirmier(e)s entoure la bonne femme. Cette femme portait le nom Anzai, le deuxième à porter ce nom était dans un coin de la pièce, la tête collé contre un mur et les yeux cachés, par obligation de sa femme. Sur le coup, les cris fut bien plus fort qu'à côté. La jeune femme, qui allait toucher ses trente ans, agrippait les draps propres du lit et levait la tête, montrant les dents et fermant violemment les yeux. Elle n'eut pas le temps de reprendre son souffle après que le premier individu jusque là soit sortit, un deuxième le suivait, à croire qu'il l'agrippait directement. Mais d'une façon ou d'une autre, la bonne femme avait bien souffert pendant cette poignée de minute, mais avait mit au monde deux jolies bébés, qui se trouvaient être de vrais jumelles. Cette surprise étonna d'abord la mère, normal, les infirmières et le père. Ils n'avaient pas été informer que c'était de vrais jumelles, m'enfin. Desserrant ses points et articulant ses doigts, la mère, essouffler, souriait à son mari qui s'approchait doucement d'elle.

Les mois passèrent, les années s'écoulèrent, et il faut dire que les Anzai n'avait rien de particulier, au Japon. Ils vivaient comme une famille vivrait toujours, dans la joie, la bonne humeur, avec des hauts, des bas, des difficultés et problèmes. La mère était au chaumage pour l'instant et le père était un classe homme, romantique et serviable, beau gosse et .. Ok ok. Il était directeur d'une grande chaîne de banque au Japon, donc pas étonnant que les Anzai vivaient dans le luxe. Les deux jumelles avaient des noms parallèles, Manami et Minami, dites Mana et Mina. Chacune avait sa personnalité, Mana était toujours douce, intelligente et adorable, gourmande, tandis que Mina avait ses propres traits. Les points qu'elles avaient en commun était pourtant incalculable, niveau caractère, toutes les deux étaient timbrées, et quand je dit timbrées, c'est à 100%. Elles avaient également une intelligence assez puissante, bien que Mina soit bien au dessus de sa soeur. Difficile de ne pas aimer deux jeunes filles comme elles. Difficile de les reconnaître lorsqu'on ne les connaissaient pas, qui était Mana, qui était Mina? Dur dur, leur physique était tout aussi parallèle que leurs prénoms, grains de beauté pour grains de beauté, défauts pour défauts .. Et donc, c'est ça qui les amusaient. Souvent, l'une se faisait passer pour l'autre, mais pas auprès de leur parents, qui eux, n'avaient pas de mal à les différencier, ils avaient la technique, en tant que parents .. Et donc souvent, l'une s'occupait des histoires d'amours de l'autre, en se faisant passer pour elle etc etc .. Souvent c'était des blagues, souvent, des pièges, parfois prévus parfois imprévus.

Allant dans la même école, on va dire qu'elles devaient faire partit des plus populaires, bien qu'elles ne le cherchaient pas. Mina avait l'air de ne pas trop aimer être entourée d'une foulée de gens et préférait rester prisonnière de son petit monde de geek, alors que Mana ne refusait rien, aucune offre, aucun service et aucun ami .. Certains étaient profiteurs, d'autres étaient trop jaloux, d'autres piégeurs et ils y'avaient les fidèles. Mais la vie n'est pas un compte de fée et toute chose à une fin. Alors que les deux jumelles piquaient des crises lorsqu'elles n'avaient pas ce qu'elles voulaient, lorsqu'elles claquaient les portes quand quelque chose de leur propriété venait de se casser, elles en demandèrent trop. Les parents ne pouvaient pas, n'avaient pas, et ne savaient pas refuser des choses à leurs deux jumelles qui, jours après jours, demandaient des choses dont le nombre de zéros s'accumulait derrière un chiffre. Des restau' de luxe, toujours une chambre plus grande, des fringues à ne porter qu'une fois, ne pas salirs, d'une valeur inestimable, des bijoux par centaines brillants à la lumières. C'était tout de même des héritières et les parents se devaient de, non pas les obéir, mais leur acheter leur moindre souhaits pour que plus tards, elles soient à la tête de la lignée de banque. Mais comme on dit :

« TROP, c'est TROP Manami. »
« Minami, tu en as déjà 12 de couleurs différentes ! »
« Mais j'aime pas celle-ci ! Elle m'énerve ! »
« Daddy, il a une tache, il m'en faut un autre ! »
« Minami-chan, revient là ! »
« Sinon quoi? »
« BORDEL ! »
« J'LE VEUX !!»

Et les années passèrent, la guerre toujours déclarées. Elles en demandaient en effets trop, les parents étaient à bout alors que le père était déjà overbooké, il venait de plus en plus rarement à la résidence. Avaient-ils fait quelque chose pour mériter ça? Leurs deux jumelles étaient devenus capricieuses, petites princesses gâtées, ont les traitaient de gosses de riche mais gardait leur défense du meilleur qu'elles pouvaient. Dix-huit ans, un âge insupportable pour les parents, la majorité arrivait doucement et l'adolescence s'apprêtait à se finir. Manami et Minami étaient promise à l'héritier de la plus grande banque de Corée depuis bien longtemps, les deux directeurs espérant une fusion compréhensible pour les deux pays, mais surtout utile. Ils n'en avaient encore jamais parler à leurs enfants, mais c'est donc à dix-huit ans que les deux jumelles furent virées de la résidence famillial pour partir chez de la famille ailleurs, et c'est à cet âge là qu'elles apprirent qu'elles étaient promise à l'héritier de l'autre pays. Franchement? Elles n'en avait pas envie et toutes les deux s'en fichèrent bien. Et pourtant, la famille chez qui elles étaient n'était pas aussi fortunée que leurs parents, et donc, elles apprirent à vivre normalement. Quelque chose de trop normal, sans palpitations particulières ni rébonds qui entrainent de l'action dans la vie. Leur vie n'étaient guerre marrante, alors qu'à la une des journaux, en gros titre « LES HERITIERES ANZAI ONT PRIT LA FUITE » s'affichait, à la télé également, partout, c'était la discussion du moment. Qu'allait devenir cette si belle chaîne de banque, son futur. C'était aux deux jumelles de décider, qui se rebellèrent toujours.

Alors qu'elles n'avaient plus du tout de fortune et donc, aucune affaires sous la mains, Manami et Minami décidèrent d'essayer de se faire embaucher quelque part. Soit on les refusaient, soit elles étaient rapidement virées. Minami avait essayer testeuse de jeux à Nintendo ; VIREE. Manami pâtissière dans une grande pâtisserie de la ville ; VIREE. Toutes les deux livreuses d'un chinois ; VIREE. Maids dans un Maid Café : VIREE. La vie était moche, contrairement à ce que l'on pourrait penser .. Mais, voilà le rebondissement. Les deux jumelles courraient toujours après un bon job qui leur rapporterait un minimum d'argent. Elles feuilletaient le journal jour après jour, brulant les articles où le nom « ANZAI » apparaissait. Finalement, elles avaient remarquer une recherche de deux modèles, bien payée. Elles ne refusèrent pas et appelèrent donc les embaucheurs. Aucune information donnés aux types de photos, style de vêtement, magazine ni rien, mais elles firent rapidement prit.

Et c'est donc là que si vous levez la tête dans les libraires pour voir les rayons d'adultes, vous verrez soit la tête de Minami, soit celle de Manami, ou les deux. Les jumelles possédant de ravissantes formes ainsi qu'un adorable minois, les photoshoots se suivirent, jours après jours. Mais elles n'étaient à l'abri de rien. Elles continuèrent de faire la une des journaux et les parents fut bien au courant de ça, dès leur premier jours en temps que modèles pour pornos. Après avoir fait valises de ce qui était leur plus précieux, ne pouvant pas emporter leur incroyable dressing, elles prient un avion en direction de Busan, en Corée. Mais directement arrivée à Busan, elle s'empressèrent d'informer leur chauffeur, qui était censé les emmener chez la famille de qui elles étaient promise, que leur direction était : Séoul ! C'était long, certes, mais il s'exécuta .. Une fois à Séoul, elles ont trouver un bon moyen de vivre et sont en panique, se disant que leurs parents pourraient débarquer d'une minute à l'autre chez elles, c'est possible qu'ils est été mis au courant de tout ça, leur futur sera peut être baclé, seulement pour l'avenir des banques Anzai, qui sait ..

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