« Anzai Minami »
messages : 27 date de naissance : 31/05/1988 here since : 21/03/2010 my age : 35 where am i? : in your ass. my mood : alive. my job : geek.
| Sujet: hello, my name is mina-geek! Dim 21 Mar - 20:39 | |
| anzai minami antisocial ? no, just not user friendly.
| NOM: Anzai PRÉNOM: Minami, dite Nami ou Mina-geek ÂGE: 21 ans ORIENTATION: Bisexuelle PARTICULARITÉ: A (en quelques sortes) peur des arcs-en-ciel, est tgsurdouée et a un passé plutôt... douteux =w= GROUPE: Geek, of course ! AVATAR: Tokito Ami PRÉ-DÉF?: oui/non
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about who i playGEEK STORY : Bonjour, je m'appelle Minami et ma vie est étrange.Hey, c'est une bonne façon pour débuter une histoire non ? Ouais t'as vu je progresse ! Oui d'accord je sors, c'est pas notre sujet de toutes façons. Donc, je disais, que je m'appelais Minami. Et je vais faire une chose que j'aime faire et que je sais bien faire (pour une geek, of course) ; raconter ma vie. Je suis née le 31 mai 1988 à Tokyo, au Japon tout naturellement. Mes parents sont très connus au Japon ; bien évidemment, qui ne connaîtrait pas la famille Anzai ? Nous sommes propriétaires d'une énorme et très importante chaîne de banques à travers tout l'archipel et, par conséquent, ma soeur jumelle Manami et moi avons grandi dans une famille aisée, tellement aisée qu'elle s'en croyait noble. Petites, nous étions gâtées par nos parents, aimées de (presque) tous, mis à part les jaloux qui nous en voulaient à cause de notre fortune et notre capacité à charmer nos parents afin de les obliger à nous donner ce dont on a besoin. Cependant, il sembla très tôt que Manami et moi n'étions pas faites pour cette vie luxueuse et, petit à petit, nous nous mîmes à demander plus que des cadeaux, de l'argent, des habits coûteux etc. Nous voulions de l'amusement, des rebondissements, une vie plus excitante. Et pourtant, même si nos parents étaient toujours disposés à réaliser nos désirs ils refusèrent de le faire lorsque nous avions besoin d'une vie plus intéressante. Ainsi, nous avons décidé de nous offrir ce dont on avait besoin par nous-mêmes. Petit à petit, nos bêtises se multipliaient. Gardant pourtant des résultats scolaires impeccables, cela n'empêchait pas les professeurs de se plaindre constamment de nous, parfois allant jusqu'à recevoir des plaintes des parents d'élèves que nous martyrisions. Et pourtant, malgré les problèmes que nous causions à notre famille, nos parents n'en firent rien non seulement parce que nous étions trop jeunes pour nous séparer de la famille, mais aussi car nous servions à améliorer les chances de la compagnie d'obtenir des offres, nos petites faces adorables étant très utiles pour amadouer les (futurs) associés de nos parents. Nous continuâmes donc à faire cet échange pendant des années, nous faisant exprès de commettre des erreurs insolites, nos parents fermant l'oeil là-dessus. Cependant, lorsque nous atteignîmes nos dix-huit ans, nos parents nous exclurent de la maison familiale bien que n'étant pas encore majeures, mais déjà d'énormes fardeaux pour la compagnie bancaire. Ainsi, ils nous envoyèrent chez une tante ou une cousine, ou je ne sais plus tellement je m'en foutais. Cette personne n'étant pas franchement gâtée du côté financier, nous dûmes alors nous débrouiller afin de trouver un travail. Manami et moi passâmes donc par livreuses dans un restaurant chinois puis maids dans un maid café, avant que Manami ne décroche un boulot de pâtissière et moi un poste de testeuse de jeux vidéos à Nintendo. Malheureusement ces boulots ne nous réussirent pas beaucoup ; nous perdions énormément de temps à chercher la maison des clients, ainsi le restaurant nous renvoya. Nous ne respections pas le règlement des maid café, nous laissant ouvertement draguer par les clients, ce qui fit que nous perdîmes notre poste. Manami se trompait toujours de recette et l'insatisfaction constante des clients la fit quitter son boulot puis, finalement, moi qui passais plus de temps à m'amuser aux jeux vidéos qu'à les tester finis par me faire virer de chez Nintendo. Finalement, nous trouvâmes une annonce dans un journal d'une agence qui cherchait des modèles. Le type de modèle n'étant pas spécifié, nous appelâmes le numéro affiché et décrochâmes le poste. C'est ainsi que nous devînmes modèles pour des magazines de pr0n. Bien évidemment, vu notre popularité fulgurante cela ne pouvait pas passer inaperçu auprès de nos parents. Ces derniers, énervés par la nouvelle, décidèrent de nous faire déguerpir du pays. Au plus vite. Ils décidèrent alors de nous marier aux fils d'un riche propriétaire d'une très célèbre chaîne de banques Coréenne. Nos parents nous envoyèrent donc en Corée du Sud. Sauf que, étant sensées vivre à Busan, nous qui étions tout à fait contre le plan de nos parents décidâmes de n'en faire qu'à notre tête et de bâtir notre propre vie comme nous le voulions. Donc nous choisîmes d'aller à Séoul, non à Busan comme nous devions le faire. Ce qui veut dire que nous n'avons PAS écouté les consignes de nos parents, que nous ne sommes PAS là où il faut que nous soyons, qu'on ne compte PAS remédier à cela et qu'on est entièrement prêtes à mener notre vie ici. À Séoul, et PAS Busan. CHARACTER ID :Je suis asociale. Je n'aime pas parler aux gens, et les gens n'aiment pas me parler ce qui est tant mieux pour moi. Des amis ? Oui, j'en ai. Mais en très petite quantité. Soit ce sont des geek comme moi, soit ce sont des gens qui ont commencé à m'aimer et à s'attacher à moi avant de découvrir que j'aime mon PC plus que tout au monde, et qui ont continué à m'apprécier après ça. Je n'aime pas trop rencontrer de nouvelles personnes, sauf sur Internet bien évidemment. Les fêtes ? Pas mon genre. Sauf avec les gens que je connais déjà. Je n'ai pas peur de l'inconnu car, étant très aventurière, j'aime toujours tester de nouvelles choses, mais je ne suis pas particulièrement amatrice des nouvelles rencontres. C'est dans mes gènes, tout simplement. À part ça, on dit aussi de moi que je suis trop froide, trop à l'écart. Je suis aussi très peu émotive et presque insensible. Moi ? Pleurer devant un film, une scène émouvante ou quelque chose du genre ? Jamais. Ou alors très rarement. Moi, afficher une quelconque expression, ne serait-ce qu'un brin d'intérêt à ce qui se passe autour de moi ? Non, jamais non plus. Non seulement je suis inexpressive mais aussi très je-m'en-foutiste. Je ne suis pas égocentrique et encore moins égoïste, mais je m'en fiche juste des autres. Pour moi la vie de tout le monde n'est pas importante ; je ne me soucie que des gens que je connais et/ou que j'aime. Ainsi les potins, les ragots et autres "nouvelles" du genre ne m'intéressent aucunement. Sinon, je suis aussi très sarcastique et ironique, mais aussi méchante. Ce n'est pas ce que je préfère faire, mais quand on me cherche je peux être amèrement méchante. Ou alors juste quand je n'ai rien à faire ; dans ce cas-là, je choisis une victime au hasard et déverse tout sur elle, la pauvre. À part ça, je suis une yeslife. Vous savez, je suis une no-life, mais j'ai quand même une vie. Seulement ce n'est pas une vie sociale. J'aime bien sortir parfois, faire du vélo, de la guitare électrique, aller au cinéma et tout et tout. Mais seule, pas avec des amis. De toute façon je n'en ai pas =w= Donc oui, j'ai une vie, mais pas une vie sociale. Tout simplement parce que je n'en veux pas. Aussi, je ne partage pas. Surtout quand il s'agit de mon lit, de mon PC, de ma DS, de ma Wii ou... de ma bouffe. Parce que oui, je déteste qu'on touche mes affaires sans ma permission. Que je ne donne jamais, d'ailleurs. Je garde mes choses pour moi. Je ne suis pas égoïste ni avare, mais j'aime ce que je possède et étant donné qu'il m'appartient, je me réserve les droits d'en faire ce que je veux et de ne le donner à personne. Ah et oui, je suis aussi une maniaque. Une vraie maniaque du rangement. Dans ma chambre, tout est bien classé. Les manuels scolaires sont classés par matières, les vêtements et chaussures par couleurs et saisons, les figurines et poupées de manga (oui, je suis aussi une otaku) par taille et les manga par ordre alphabétique ou, parfois, par genre. Même quand il y a le bordel dans ma chambre -ce qui est très rare-, je garde mes repères dans MON désordre à moi et je refuse catégoriquement que l'on range mes affaires à ma place. Oui je l'ai déjà dit, je n'aime pas qu'on touche à mes affaires ou qu'on viole le territoire de ma chambre et, quand ça arrive, je deviens très, très agressive. Moi qui, d'habitude, es toujours calme, silencieuse, tranquille, inexpressive, je peux devenir une véritable furie. Car même si j'ai l'air faible et frêle, j'ai une très grande force qui réside dans mes bras et mes jambes même si, avant tout, pour me battre j'utilise mon cerveau et mes méchantes phrases avant de mettre en marche mes muscles. Ah et, aussi, je suis perverse. Très, très perverse. J'ai l'esprit mal placé, je trouve des allusions perverses dans tout ce qu'on dit, même dans les films de Disney. On dit de moi que je suis une fille très calme, très réfléchie. Je n'agis jamais avant de penser aux conséquences de mes actes. Je suis aussi très tranquille, très indifférente. Quand on me fait des remarques je les ignore tout simplement et, quand on m'énerve vraiment, j'affronte la situation avec calme, classe et tact. On dit aussi que j'ai toujours le dernier mot, que je sais toujours quoi dire et quoi faire au bon moment, étant très charismatique. Je connais les mots et les gestes qui font plaisir (ou pas) aux gens et je n'hésite pas à m'en servir comme je veux. Je suis aussi très agile et attentive ; non seulement j'ai bonne mémoire, mais je peux aussi remarquer des choses que personne ne remarque. C'est probablement dû à mon intelligence car il paraît que je suis une surdouée, mon quotient intellectuel s'élevant à 142 points de Q.I. Je n'en suis pourtant pas intellectuelle mais plutôt une jeune fille simple et normale, bien qu'aimant la lecture et étant complètement fanatique de la programmation et de toutes les autres activités de geek. Sinon, je suis aussi très cultivée. Je m'en foutiste, certes, mais aussi toujours d'actualité. Je sais tout le temps ce qui se passe autour de moi même si ce n'est pas forcément pour le raconter à tout le monde. Malgré mes nombreuses connaissances, je sais aussi rester modeste. De toute façon, je déteste frimer car ça ne sert à rien. Ou alors, je le fais indirectement car, comme précisé plus haut, je peux parfois être méchante. Mais ça ne change rien au fait que je sois humaine ; ainsi, je reste une personne attachante, aimable et sympathique, et aussi adorable, mignonne, douce. Quand on s'approfondit dans mon caractère et qu'on me connaît un peu mieux, on découvre que je suis une personne vraiment des plus sympathiques et des plus gentilles. Mais il est très dur de briser cette coquille car, malgré tout, je reste très timide. Bien évidemment, j'ai ma propre façon de l'être en étant méchante, froide, isolée du monde, pour ne pas dire effacée. Entre amis, je change complètement ; je deviens pleine d'énergie, surexcitée, très joyeuse. Je ris très souvent puisque j'ai beaucoup d'humour, et je fais aussi très souvent rire. Mais il faut très, très bien me connaître avant de voir cette facette et actuellement Manami est la seule personne à la connaître. Les amis comptent beaucoup pour moi ; c'est la chose la plus importante pour moi, même si je ne cherche pas particulièrement à en avoir. Un peu ironique non ? En amour ? ... Je ne sais pas, je n'ai jamais essayé. Oui, bientôt 22 ans de célibat, vraiment. Et je ne cherche pas vraiment à ce que ça change. Mais je suppose que si jamais ça arrivait, je me comporterais comme entre amis ; je serais très franche, très directe. EN fait, la seule différence qu'il y aurait c'est que je pourrais rouler des pelles, tripoter et faire des câlins sans devoir poser de questions. Cool, non ? Sinon, en famille, ça ne change pas de quand je suis "normale". Je ne bouge pas, je ne parle pas, je suis tout le temps isolée des autres. Je ne fais ma gentille fille attentionnée que quand j'ai besoin de quelque chose. Moi ? Lèche-cul ? Non, juste très profiteuse. Sinon, si on veut parler de mes goûts, en ce qui concerne la musique j'écoute tout sauf le hip-hop, le métal et... ew, la tecktonik. Je mange pratiquement tout aussi, sauf tout ce qui se trouve à l'intérieur des bêtes (foies, reins, coeurs etc. x_x), les aubergines, les citrouilles, le poulpe, l'oignon, l'artichaut et les choses du genre. Mon plat préféré reste cependant les légumes crus. En ce qui concerne mes talents, je sais jouer de la guitare électrique et du piano et j'ai un certain talent en danse et en chant. Sans oublier que je programme très bien et que mes dessins sont plutôt jolis, dit-on. about my real selfPSEUDO: Minori ou Chibi Kusô ~ ÂGE: 13 ans. Bientôt. Dans deux mois. COMMENT VOUS ÊTES ARRIVÉ ICI: Par le métro ! \O/ #BAM# Par ma jumelle :3 PRÉSENCE SUR LE FORUM: Toujours là. Jore 9,75/10 e_e AUTRE: Non rien. \o/ DOUBLE COMPTE: Oui, Chuck Norris. * TARTE * EXEMPLE RPG: - Spoiler:
« Bon tu viens oui ou merde ?! »
Il est 6h34 du matin et je ne dormais toujours pas. Je me retournais vainement dans mon lit depuis une bonne tripotée d'heures sans pouvoir trouver le sommeil. Le marchand de sable faisait apparemment grève aujourd'hui car je l'attendais depuis bien longtemps et, pourtant, il n'était toujours pas venu. Ou alors il s'était fait défoncer la gueule par les insomniaques qui le considéraient comme le plus gros traître de tous les temps. Ce qui n'était pas faux, bien que moi je le considérais plutôt comme un lâche. Pourquoi ? C'est tout simple. Parce que les consoles, les PC et la télé avant de se coucher le font fuir. Et ça, c'est de la lâcheté parce que des choses toutes bêtes et pourtant vitales aux gens comme moi lui font peur et l'empêchent de faire son job ! Ah ça je vous jure, si son patron savait ça il se serait immédiatement fait virer. Mais dans ce cas-là on n'aurait eu plus personne pour nous endormir et ç'aurait été encore pire que ça ne l'est déjà. Ou alors, ils l'auraient remplacé par Shaun le Mouton et toute sa troupe, sauf qu'il faudrait bien les entraîner physiquement pour qu'ils soit capables de sauter des barrières jusqu'à ce que l'on s'endorme. Et lorsqu'ils devront le faire pour moi ils auront vraiment besoin de beaucoup de force physique pour tenir jusqu'à ce que je m'endorme. Enfin bref. Je n'arrêtais pas de me retourner dans mon lit, de cacher ma tête sous mon traversin, de regarder le plafond, de penser à des choses qui pourraient me donner envie de dormir... mais rien. Le marchand de sable n'était décidément pas en service aujourd'hui e_e
Et puis finalement les lumières s'allumèrent et, moi qui fixais toujours le plafond, vis mes colocataires se lever, ouvrir les rideaux, s'habiller, préparer leurs sacs et se casser de la chambre. Oui bon en fait "voir" est un grand mot, je ne les vis pas passer devant moi car même si j'avais les yeux ouverts, je dormais. J'avais fini par succomber au sommeil malgré tout. Ce n'est qu'une heure plus tard, à 8h30, que je me réveillai et me rendis compte que j'étais en retard. Une fois de plus. Le pire c'est que j'avais cours de littérature depuis officiellement une demi-heure ! Moi qui étais toujours à la bourre pour le cours de litté, le professeur m'avait juré que la prochaine fois que je serais en retard il me virerait définitivement du cours ! Pas que j'aime les cours de littérature, mais ça pouvait avoir un sévère impact sur mon bulletin de notes et mon "casier judiciaire" à l'école, sachant que je serais notée en tant qu'absente pendant tous les cours et que j'aurais des zéros à toutes les interros auxquelles je n'assisterai pas, faute de pouvoir être présente au cours de gré ou de force. Je bondis alors violemment de mon lit et, m'habillant immédiatement, attrapant mon sac, je me brossai vite fait sans même prendre la peine de me débarbouiller le visage ou de me brosser les dents. Un chewing-gum à la menthe et c'était bon, toute trace de mauvaise haleine anéantie.
Je déambulai ainsi dans les escaliers de l'école puis atterris dans les couloirs, dans lesquels je m'étais égarée à plusieurs reprises faute de concentration sur mon chemin. Dans mon élan d'inquiétude et de rapidité j'avais oublié où se trouvait la salle de littérature et je ne m'en rappelai qu'avoir pris un chemin complètement opposé à celui de la salle où j'avais cours depuis bientôt une heure. Je fis demi-tour rapidement, faillant presque déraper sur le carrelage luisant du couloir et me remis à courir. Quand tout d'un coup apparut une silhouette qui était droit sur mon chemin. Elle était loin de moi, certes, mais je pus calculer ma trajectoire et la sienne et compris rapidement que nous partagions la même voie. Ainsi, d'une façon où d'une autre, nous allions finir par nous percuter, ce que j'espérais pouvoir éviter car, tenant la moitié de mes livres dans mes bras, ceux-ci allaient être complètement dispersés par terre après le choc et les ramasser me ferait perdre énormément de temps, tout comme partir sans eux ne servirait à rien puisque j'aurais été non seulement incapable de suivre le cours mais aussi susceptible d'être punie. Je tendis alors un bras devant moi comme moi pour m'éviter un choc et, sourcils froncés, je criai à l'attention de la silhouette masculine.
« BORDEL CASSE-TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! »
J'espérais par cette phrase faire comprendre à l'individu qu'il se trouvait droit sur mon chemin et que, courant trop vite, il m'était impossible de freiner, de changer de trajectoire ou encore de freiner pour changer de trajectoire. Malheureusement, le jeune homme ne sembla pas faire attention à mon cri et il ne se rendit compte que j'existais que lorsque je ne fus qu'à cinq centimètres de lui. Ainsi, mon bras tendu fini par lui écraser la face et le faire tomber en arrière. Lorsqu'il fut renversé par terre, je trébuchai sur lui et me retrouvai aussitôt accroupie sur le jeune homme, mes livres de cours éparpillés n'importe comment dans les couloirs. Je gardai ma main aplatie contre son visage, commençant à serrer légèrement son visage, la tête pareille à celle d'un geek qui, après avoir programmé pendant deux jours de suite sans sauvegarder, subit une soudaine coupure d'électricité. Je regardais droit devant moi pour ne pas avoir à fusiller ma pauvre victime du regard, et surtout pour alimenter l'effet dramatique et surnaturel de la scène. Je lâchai alors d'une voix calme mais grave, sombre et mystérieuse.
« J't'avais dit de te pousser enfiré. POURQUOI TU L'AS PAS FAIT ?
Dernière édition par Anzai Minami le Mar 23 Mar - 0:11, édité 15 fois |
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