about who i play Mère: « Comprenez-moi docteur. Je ne peux plus faire face, ce garçon est infernale et je ne peux pas le surveiller constamment. Je suis seule, mon mari m'a quitté il y a trois ans de cela pour une autre femme et j'ai trois autres bouches à nourrir en plus de mon fils.»
Je fermais les yeux. J'étais réveillé, mais je ne voulais pas qu'elle, qu'ils sachent que j'étais réveillé. Elle n'avait pas finit de parler et si je me réveillais maintenant, elle allait certainement arrêter son discourt, découvrant que sa discussion n'était plus privée.
Médecin: « Madame je vous comprends, mais votre fils a besoin d'être entouré de sa famille.»
Mère: « Mais je ne peux plus m'en occupé! Je ne peux pas le surveiller constamment! En plus il a arrêté ses études! Comment voulez-vous que je face? Je vous demande juste de vous en occuper.»
Et voilà, c'était fait. Ouvrant les yeux et me redressant je regardais le médecin. Je savais ce qu'il allait lui répondre, mais pour une fois j'avais les mêmes envie que ma mère. Je n'en pouvais plus de cette famille qui faisait semblant de m'aimer, de prendre soin de moi. D'ailleurs, la preuve en était, ma mère venait de se presser à côté de moi, me demandant comment je me sentais alors que peu de temps avant elle disait ne plus pouvoir s'occuper de moi, mais je l'ignorais.
Kwang Tae: «Faites ce qu'elle veut. Moi aussi ça m'arrange, je n'ai plus envie de voir sa tête. Elle me donne envie de vomir. D'ailleurs c'est peut-être à cause d'elle que j'essaye de mourir nan?»
Hum ce que je disais n'était pas totalement faux. Ok c'était pas vraiment à cause d'elle que je cherchais à toucher la mort du bout de mes doigts, mais elle n'arrangeait rien, elle empirait peut-être les choses voilà tout. Soupirant je regardais le médecin. Alors, qu'attendait-il pour répondre? Ce n'était pas compliqué, il lui fallait juste dire oui ou non point final. Rah ça m'énervait. Prenant les vêtements que ma mère m'avait remmené, je les enfilais sans la moindre gène, dévoilant ainsi de multiple cicatrice. Au moment où je voulus sortir de la chambre, une main agrippa à mon bras, ayant pour conséquence de me faire tourner la tête vers le propriétaire de la main. Évidemment, c'était forcément cet idiot de médecin.
Médecin: « C'est d'accord je vais voir ce que je peux faire pour te loger ailleurs que chez ta mère. Mais pour le moment, Kwang Tae tu restes ici. Tu n'en es pas à ta première tentative de suicide et nous aimerons vérifier que ton corps n'en a pas gardé trop de séquelles. De plus, comme tu vas rester une semaine ici, tu iras voir le psychologue tous les jours. Aussi, il semble que tu ne te nourrisses pas assez, il va falloir que tu remédies à cela»
Kwang Tae: «Quoi? Vous voulez que je moisisse ici pendant une semaine? Nan mais c'est vous qu'il faut soigner! Et pour ce qui est de ma façon de nourrir elle est très bien.»
Oh que non. Il était hors de question que je reste une semaine ici et surtout en étant obligé d'aller voir un psy. Mais au vu du regard insistant de cet idiot je compris que c'était ça ou un retour expresse chez ma mère. Soupirant je m'assis alors violemment sur mon lit. Jetant un regard remplit de colère au médecin je lui déclaras:
Kwang Tae: «C'est bon vous avez gagné je reste pour une semaine.» Puis je regardai ma mère avec un faux sourire et surtout un regard qui signifiait clairement: dégage tu m'empêches de respirer. «Maman, tu veux bien me rapporter mon I-pod ainsi que mes vêtements? Oh et pourquoi pas mon carnet de croquis avec ma trousse à dessin?»
....
Psychologue: «Bon écoute, tu as eu l'autorisation de quitter l'hôpital et de vivre seul dans un appartement pas loin d'ici. Je viendrais te voir tous les jours pour m'assurer que tu vas bien, et si je ne peux pas venir je t'appellerai. Aussi comme je te l'ai dit tout à l'heure dans le cabinet, tu viendras me voir tous les vendredi. Tu as compris?»
Je ne répondis pas, gardant mon regard fixé sur le paysage qui défilait derrière la vitre de la voiture. C'était la sienne, elle avait voulut m'accompagner jusqu'à mon nouveau lieu de résidence. J'étais pas enchanté et encore moins par ces visites régulières que j'allais subir et ces rendez-vous obligatoire par semaine. Mais je n'avais pas le choix. C'était ainsi point final.
Psychologue: «J'allais oublié, il serait bien que tu te trouves un colocataire, afin de ne jamais te retrouver seul chez toi. Et puis demain je te présenterais à ton patron, à la supérette du coin, car comme tu ne vis plus chez ta mère et que tu ne vas plus en cours, il va falloir que tu travailles pour pouvoir te nourrir. Pour ce qui est du loyer et des factures, ne t'inquiète pas, je les prends en charges.»
Je ne comprenais pas pourquoi elle faisait tout cela, mais je m'en foutais totalement. Je voulais simplement qu'elle me dépose elle qu'elle s'en aille, afin de me retrouver seul avec mes propres démons.
....
Rapport du psychologue:Bilan Psychologique de Kwang TaeKwang Tae est un garçon réservé. Il reste muet, ne parle pas et surtout peut paraître froid. À chaqu'une des questions que je lui pose il répond rapidement de façon concise et surtout ne laissant aucun moyen de rebondir sur sa réponse. Lui demander directement pourquoi il essaye de mourir serait tout aussi efficace que de le faire de manière indirecte. Visiblement il ne veut pas que l'on sache ce qui le tourmente. Il passe son temps à regarder l'extérieur ou bien à dessiner. D'ailleurs, ses dessins reflet son état d'esprit. Ils sont généralement tous sombres et ne montre que peu de joie et d'espoir. Mais au fond de lui c'est quelqu'un de très gentil, il sait prendre soin des autres et les rendre heureux. Il est aussi très impulsif et reprendra son apparence froide s'il a l'impression que l'on marche sur ses secrets. Pourtant je l'ai déjà surpris en train d'aider une grand-mère à promener son chien. Je pense que s'il n'avait pas subi ce qui le torture, il aurait pût être quelqu'un de bien. J'ai aussi réussit à savoir qu'au début il voulait devenir médecin. Peut-être reprendra t-il un jour ses études?
about my real selfPSEUDO: Eileen/ Drag -racourci de Dragon-
ÂGE: 17ans
COMMENT VOUS ÊTES ARRIVÉ ICI: Piou piou piou
PRÉSENCE SUR LE FORUM: Surtout le week end et le mercredi après midi. Après cela varie selon les devoirs que j'aurais. Bref comme pour l'autre compte
AUTRE: ///
DOUBLE COMPTE: Oui.
EXEMPLE RPG: - Spoiler:
Elle était trop faible. Bien trop faible pour pouvoir lui mentir ainsi. Elle était incapable de jouer le jeu et puis de toute façon, un jour ou l’autre son mensonge aurait été découvert, créant peut-être plus de mal qu’à présent alors elle avait certainement eux raison de lui dire la vérité ou du moins une partie. La serrant contre elle, elle se sentait bien là si bien qu’elle aurait été capable d’oublier le temps présent et de retourner dans le passé. Mais malheureusement pour elle, la réalité était bien trop présente et elle ne pouvait pas retourné à l’époque où elles étaient ensemble. Elles ne pouvaient pas se voiler la face, la vie de couple ne fonctionner pas pour elles, elles avaient déjà essayer. Mais alors pourquoi, pourquoi au contacte des lèvre de Jinny sur sa peau son cœur commençait à s’affoler ? Pourquoi quand sa main caressa son visage elle voulut se laissait allait ? C’était évident, c’était car elle l’aimait encore et qu’elle gardait encore l’espoir quelque part au fond elle de fonder de nouveau un couple avec le chaperon. Et comme venue pour confirmer cela une douce sensation de chaleur se déclancha dans son corps lorsque, durant cette fraction de seconde Jin Hee l’embrassa. Une chaleur qui l’envahissait d’un bien être fou, en elle, elle sentait exploser un véritable nit de papillon, lui faisait oublier toute raison. Une fois le baiser rompu elle n’ouvrit pas les yeux. Elle voulait encore garder ces sensations en elle et comme pousser par cette chaleur si douce elle rapprocha son visage de celui de celle qu’elle aimait encore, leurs souffles ce mélanger, il était chaud et agréable, puis tout doucement leurs lèvres se frôlèrent. Seulement, Seul Hee, la magie de cendrillon à une fin et cette fin est arrivée. En effet c’était comme si son esprit c’était réveillé de son hypnose. Elle se détacha brusquement de la demoiselle, se rendant compte de ce qu’elle venait de faire. Dans son esprit un flot d’injure était crié envers elle-même. Elle s’était juré de ne plus l’embrasser, de ne plus l’aimait après leur rupture, pour le bien de leur relation.
Ses yeux étaient rivés sur le visage de la belle, elle ne savait pas ce qu’elle devait faire. Son esprit était encore confus et une réel bataille avait lieu. Elle se battait contre ses pulsions. Oui elle voulait la sentir encore un peu plus prêt elle voulait de nouveau ne faire plus qu’une avec elle, mais elle ne devait pas, elle devait se retenir, il fallait qu’elle fuie, voilà la solution. Il fallait qu’elle aille dans un endroit où elle ne verrait pas ce magnifique être. Mais voilà, elle se trouvait en dessous d’elle et elle n’osait pas bouger. Pourtant il le fallait si elle voulait pouvoir gagner contre ses envies. Poussant finalement délicatement Jin Hee elle se brisa le contacte visuelle et commença à s’en aller. Mais elle se figeât sur place, était-ce vraiment la meilleure solution ? Ne valait-il mieux pas qu’elle affronte ses pulsions en face de celle qui les provoquait ? C’était peut-être celle là la meilleure solution, ainsi peut-être pourrait-elle arrêter de l’aimait ou du moins endormir ces sentiments. Bien sûr elle aurait besoin d’un coup de main. Elle aurait besoin de savoir que pour Jinny tout était finit, qu’elle ne l’aimait plus et que cela ne pourrait jamais marcher entre elles qu’elles n’étaient pas faites pour être en couple mais juste meilleures amies. Mais elle n’osait pas le lui demandait. Elle avait peur que cela lui fasse plus de mal que de bien. Elle se décida. Elle prit une décision et décida que pour le moment elle ne serait qu’un lâche incapable de monter sur le ring contre les sentiments.
Laissant son invitée surprise dans le salon toute seule elle alla s’enfuir dans sa chambre, restant dans le noir. Le dos contre la porte elle frappa violemment contre le mur, comme pour évacuer toute sa rage, toute sa lâcheté. Elle voulait criait au monde entier qu’elle aimait Choi Jin Hee et qu’elle n’aimerait qu’elle qu’importe si c’était réciproque mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait pas car elle tenté de se mentir à soit même. De mentir sur ses sentiments. Encore une fois les larmes coulaient sur son visage. C’était trop douloureux tous ces mensonges. Toutes ces épreuves, elle n’en pouvait plus. Pourquoi lui infligeait-on tout cela ? Pourquoi ne pouvions-nous pas la laisser tranquille vivre sa petite vie ? Pourquoi fallait-elle qu’elle souffre autant ? Ce n’était pas juste.
Seul Hee « Je l’aime. Choute, je t’aime. »
C’était un murmure, à peine audible, un murmure qui allait à l’encontre de ce qu’elle voulait. Mais elle ne pouvait plus se taire, plus aujourd’hui. Il fallait que ça sorte et tant pis si ce n’était que pour elle. Tant pis si la concerné ne l’entendait pas, si personne ne l’entendait, car elle l’avait entendue.