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| Sujet: moon ha na. ♥ Sam 6 Mar - 21:07 | |
| Moon Ha Na Walking On A Dream
| NOM: Moon. PRÉNOM: Ha Na. ÂGE: 18ans. ORIENTATION: Hétéro. PARTICULARITÉ: Mémoire de poisson rouge? ôo GROUPE: Artist. AVATAR: Im Jin Ah (NANA) PRÉ-DÉF?: non
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about who i play On avait débarrassé la table et le restaurant se vidait, Hana ne bougeait pas. Elle commandait des tasses de thé pour ne pas être mise à la porte. L’angoisse dans laquelle sa mère l’avait plongée s’estompa peu à peu. Elle écoutait les bruits d’eau et de casseroles échappés de la cuisine, la radio, ces refrains incompréhensibles aux sonorités pointues que la jeune serveuse reprenait en se dandinant, elle observait le vieux monsieur de la table voisine qui attrapait de longs vermicelles avec des baguettes en se mettant du bouillon plein le menton et eut soudain l’impression de se trouver dans la salle à manger d’une vraie maison… Hormis sa tasse de thé, il n’y avait plus rien devant elle. Elle la posa sur la table d’à côté et commença à lisser sa nappe. Lentement, très lentement, elle passait et repassait le plat de sa main sur le papier de mauvaise qualité, rêche et taché par endroits. Elle fit ce geste pensant plusieurs longues minutes. Son esprit s’apaisa et les battements de son cœur devinrent plus rapides. Elle avait peur. Elle devait essayer. Elle souleva sa main à quelques centimètres de la table et attendit que ses tremblements cessent. C’est bien, tu vois… Elle attrapa son sac à dos et farfouilla à l’intérieur, il était là. Elle sorti le coffret de bois et le posa sur la table. Elle l’ouvrit, prit une petite pierre rectangulaire et la passa sur sa joue, c’était doux et tiède. Elle défit ensuite un tissu bleu et en sortit un bâton à encre, une forte odeur de santal s’en dégagea, enfin, elle déroula un napperon en lattes de bambou où dormaient deux pinceaux. Le plus gros était en poil de chèvre, l’autre, beaucoup plus fin, en soie de porc. Hana ne put retenir ses larmes en découvrant le matériel de peinture chinoise de son vieux professeur, celui-là même dont elle se servait à présent. Elle se leva, prit une carafe d’eau sur le comptoir, deux annuaires et fit une petite courbette au vieux fou d’en face. Elle plaça les annuaires sur son siège de façon à pouvoir étendre le bras sans toucher la table, versa quelques gouttes d’eau sur la pierre en ardoise et commença à broyer son encre. Elle se souvint des conseils de son maître. Tourner la pierre lentement… se concentrer sur son poignet… Ne plus penser à rien… Hana sortit d’un long sommeil avec un moineau, puis deux, puis trois, puis une volée d’oiseaux ), l’œil moqueur. Elle n’avait rien dessiné depuis plus de deux ans. * * *
Enfant, elle parlait peu, encore moins qu’aujourd’hui. Sa mère l’avait obligée à suivre des leçons de piano et elle détestait ça. Une fois, alors que son professeur était en retard, elle avait pris un gros marqueur et avait dessiné, consciencieusement, un doigt sur chacune des touches. Sa mère lui avait dévissé le cou et son père, pour calmer tout le monde, était revenu le week-end suivant avec l’adresse d’un peintre qui donnait des cours une fois par semaine. Son père mourut peu de temps après et Hana n’ouvrit plus jamais la bouche. Même pendant ses cours de dessin avec ce vieux monsieur qu’elle aimait tant, elle ne parlait plus. Cela dura un an. Son mutisme arrangeait certains, en inquiétait d’autres, Hana ne s’en souciait pas. C’est à partir de cette année qu’elle ne s’entendit plus avec sa mère. Toutes les deux ne furent plus jamais sur la même longueur d’ondes. La mort du père creusa un grand trou entre elles deux. Hana ne la trouvait pas assez triste pour le malheur qui venait de s’abattre sur leur famille. Ce qu’elle ne comprenait pas encore, c’était que toutes les deux étaient très différentes l’une de l’autre. Hana avait tout hérité de son père. Son calme, sa détermination, sa gentillesse et sa sensibilité. Sa mère était à peu près son opposé. Et, elle n’avait pas pour habitude d’extérioriser ses sentiments. Ce fut le vieux Coréen, le professeur de Hana qui lui rendit la parole. D’un jour à l’autre, parce qu’il avait décidé que cette petite plaisanterie avait assez duré. Il lui demanda simplement si elle voulait qu’il lui raconte l’histoire d’un ancien peintre Chinois, à qui elle ressemblait beaucoup. Si elle voulait l’entendre, elle n’avait qu’à dire oui. Hocher de la tête ne comptait pas. Etrangement, oui, l’histoire de ce peintre avec beaucoup de similarités avec celle de la gamine. « (…) Il a fait une chose incroyable, une chose que tu ne devineras jamais… Il a décidé de se taire pour toujours. Pour toujours, tu m’entends ? Plus un seul mot ne sortirait de sa bouche ! Il était écœuré par l’attitude des gens autour de lui, ceux qui reniaient leurs traditions et leurs croyances pour être bien vus des Mandchous et il ne voulait plus jamais adresser la parole à personne. Qu’ils aillent au diable ! Tous ! Ces esclaves ! Ces lâches ! (…) Le problème, c’est que personne ne peut vivre sans s’exprimer. Personne… C’est impossible… » il lui expliqua que le peintre Chu Ta s’exprimât alors à travers ses dessins. La petite fille buvait ses paroles. Il lui apprit aussi à dessiner comme lui. Elle dessina un chat, et l’on pouvait l’entendre ronronner. A la mort de son maître, Hana continua le dessin, jusqu’à ce que, par manque de temps, elle ralentisse la cadence pour ne plus dessiner du tout. Cela s’était fait tout seul. N’étant pas très forte à l’école, il fallait qu’elle se concentre d’avantage. Ce qu’elle fit, parce que c’est une courageuse qui n’a pas l’habitude de laisser tomber. Malgré que sa mère n’ait jamais vraiment cru en ses compétences, ne l’ait jamais encouragée, elle n’a jamais laissé tomber les bras et a toujours fait du mieux qu’elle pouvait. Mais il fallait croire que ce n’était pas pour elle, tout ça. Les mathématiques, les sciences ou même les langues, malgré que cette dernière matière la laisse rêveuse. Malheureusement c’était ainsi et pas autrement, parce que sa maman jugeait que le dessin ne menait à rien. Puis ce n’était justement pas le moment de rêver, elles avaient du mal à joindre les deux bouts. Il fallait travailler. C’était ça où vendre leur vieille maison pour déménager dans un petit appartement miteux. C’est vrai ça… Il fallait que Hana se décide pour son avenir. Elle venait de terminer ses études, difficilement, certes, mais le lycée, s’était fini pour elle. Comme elle ne savait toujours pas vers quoi s’orienter au début de l’année, pour l’instant, elle travaille à touclean. Elle fait des ménages, pour ne pas perdre son temps à rêver du lendemain et gagner de l’argent, comme sa mère lui conseillait si gentiment. Ne pas rêver. Ah, chose bien difficile pour notre Hana. Elle ne fait que ça, elle. Imaginer un monde où le ciel serait toujours bleu, le soleil toujours à son point culminant… Un beau champ de tournesol, la mer, et c’était bon. Hana pouvait rester à rêvasser d’un monde pareil pendant plusieurs heures d’affilée sans s’en lasser. Et, autant vous dire, mieux vaut ne pas la faire redescendre de son petit nuage lorsqu’elle se trouve dans cet état second. A première vue, on ne dirait pas, mais cette demoiselle s’énerve très, très facilement. On la pense d’abord calme, innocente, réfléchie et attentionnée. C’est vrai. C’est tout à fait vrai, tout à fait elle. Mais plus tard, on la saura aussi fofolle, joyeuse, susceptible et lunatique. Un personnage difficile à cerner. * * *
Elle s’était remise à dessiner. Comme ça. Pour rien. Pour elle. Pour le plaisir. Elle ne s’était pas sentie aussi calme, aussi vivante, aussi simplement vivante, depuis des années… Intriguée, la serveuse vint récupérer la tasse vide et jeta un œil sur la nappe. Hana venait d’y dessiner, sur toute la surface, un petit bonhomme hilare qui ressemblait au papi et qui courait le long d’une rizière. Elle l’avait croqué avec sa casquette Nike et sa veste de survêtement, mais l’avait laissé jambes nues, seulement vêtu du pagne traditionnel. Elle ajouta quelques gerbes d’eau qui giclaient sous ses pieds et une bande de gamins lancés à sa poursuite. Le support, de mauvaise qualité, se gondolait et buvait l’encre beaucoup trop rapidement. Hana recula et posa son travail sur le sol. Beaucoup de détails la contrariaient bien sûr, mais enfin, il avait l’air heureux, vraiment heureux. Elle alla débarrasser la table du vieux monsieur de la table voisine et y posa son dessin devant lui. Il serait pour lui, tiens. Depuis tout à l’heure, le vieux fou n’avait pas raté un seul geste de tout le petit manège de la jeune artiste. Il se pencha cérémonieusement et se mit à rire. Un rire d’enfant, cristallin et gai. Il pleura aussi et rit de nouveau en se balançant et en croisant ses bras sur sa poitrine. Euh. D’accord. Hana ria aussi. Cela lui fit du bien. about my real selfPSEUDO: K-Miii, Mim's, Moona, Kiki. ÂGE: 17ans. COMMENT VOUS ÊTES ARRIVÉ ICI: JRM, my love. éè PRÉSENCE SUR LE FORUM: Bien trop présente. e.e" AUTRE: Ouyaih. DOUBLE COMPTE: Houla, non. èé EXEMPLE RPG:- Spoiler:
Moona respira un grand coup pour bloquer ses larmes. Elle se sentait déjà assez nulle comme ça, alors pas besoin de se promener dans les rayons du supermarché avec cette tête là. Elle allait faire fuir les clients. Tiens, c’était pas con ça. Au moins, ils sortiraient plus vite du magasin. L’heure de fermeture se rapprochait de plus en plus, pourtant il y avait toujours des petits comiques qui se baladaient à leur aise au rayon charcuterie. Moona avait-elle le droit de les taper, ceux-là ? J’veux dire, cela devait bien faire maintenant une demi-heure que la jeune caissière devrait être rentrée chez elle. Seulement voilà, elle avait encore du boulot. Et principalement à cause de clients du genre. Qui ne pensent pas à ce genre de choses là. Et on ne quitte pas le magasin tant qu’on n’a pas fini, c’est la règle. Elle n’était même pas sûr que son patron savait qu’elle était encore là. Elle ne savait même pas s’il se rendait compte de tout ce qu’elle faisait pour garder sa place. Il était bien trop occupé à compter ses billets dans son bureau, il fallait le comprendre. Ben voyons. Moona, les yeux vides, fixait l’extérieur. Enfin, la vitre. Impossible de savoir vraiment où ses yeux s’étaient arrêtés. Une chose était sûre, elle avait hâte de quitter cet endroit. Dehors, les lampadaires s’étaient allumés comme des bougies au milieu de ce paysage de neige, offrant une autre vision féerique de la place publique. Moona n’avait jamais l’occasion d’assister à ce spectacle, toujours occupée ici, à l’intérieur. Bientôt il cesserait de neiger, et elle n’aurait toujours pas eu l’occasion de profiter de ce paysage. Pourtant, Elle aimait ces ambiances hivernales. Lorsque la ville entière semblait prise dans un flocon de neige. Elle se surprit une fois de plus à rêvasser. Ce n’était de toute évidence pas du tout le moment pour, si elle voulait rentrer chez elle avant le petit matin. Puis, il ne faudrait pas non plus qu’on ferme le magasin avec elle à l’intérieur. Qu’on l’oublie.
Le caddie toujours en main, elle avait avancé d’un pas somnambulique, et sans s’en rendre compte, elle était arrivée au rayon des surgelés. Elle plongea sa main dans son chariot et en tira deux boîtes de pizzas. Juste le genre infect, avec de la pâte à pain, du fromage surgelé et une garniture dégueu. Sûrement son repas de ce soir, maintenant qu’elle y pensait. Elle rangea par la suite un paquet de frites, juste un peu plus loin dans l’allée. Elle eut un frisson. Il n’avait sûrement pas pensé à ça lorsqu’ils avaient conçu les uniformes des caissières : les rayons surgelés. Une autre règle était la suivante : on ne se plaint pas. Une fois de plus, Hye Na figea son geste. Elle venait d’apercevoir, aux caisses, le jeune homme d’un peu plus tôt. Elle s’échappa à nouveaux dans ses pensées. Elle repensa à lui, à la scène de tout à l’heure. A comment il avait serré le bras de la voleuse, comment son regard s’était posé sur elle ensuite, lorsqu’elle avait articulé un timide merci. Enfin, de ça, elle n’en savait rien. Car lorsque leurs regards s’étaient croisés, Moona avait fuit cette coïncidence. Elle avait aussitôt détourné le sien pour qu’il ne puisse y voir la tristesse et le désarroi qui avaient envahi ses prunelles. Le sentiment de solitude qui lui comprimait le cœur. Elle n’avait même pas levé les yeux pour voir sa réaction, quant à son coupon de réduction. Il aurait pu rire, cela ne l’aurait pas dérangée. Elle-même aurait ri légèrement, si elle avait été à sa place. Elle se serait sentie juste un peu plus bête encore. Bah. Elle se remémora aussi le moment où il avait fait marche arrière pour venir prendre sa défense. Lorsqu’il s’était énervé après le client, Moona elle-même avait eu peur. Je vous jure. Il était très convaincant. Les yeux de Moona s’étaient arrondis d’étonnement. C’était la première fois qu’on faisait ça pour elle. Une bouffée de chaleur s’était emparée de son cœur pendant une fraction de seconde, à l’idée que non, elle n’était peut-être pas si invisible que cela, finalement. Après quoi le jeune homme partit faire ses courses pour de bon. Elle ne pouvait désormais plus le nier, il n’était pas comme elle l’avait pensé. Il ne lui avait rien demandé de particulier en retour de sa bonne action. Il avait même l’air plutôt sympa. Et sexy. Hein, quoi ?
Hye Na détourna brusquement son regard. Il arrivait vers elle. Elle renifla discrètement et fit mine de continuer son rangement. Elle espérait qu’il ne l’ait pas vu faire un blocage sur sa personne. Par pitié. Et pourquoi venait-il par ici, d’abord ? Il regrettait, c’est ça ? Il allait lui coller un pistolet sur la tempe et menacer le gérant du magasin de tuer sa caissière si l’on ne lui remettait pas sa récompense dans les plus brefs délais ! C’est ça, hein ? Une bouffée d’air profonde, et Hye Na emplit ses poumons de l’air frai qui fuyait les frigos. Pourquoi se mettait-elle à stresser ? Si cela se trouvait, c’était juste parce que la date de validité de son coupon cadeau était dépassée. Cela ne serait pas étonnant, venant de la demoiselle. Quoiqu’il en soit, Moona essuya ses yeux de plus belle. Elle faisait un effort depuis tout à l’heure pour ne pas craquer une nouvelle fois, et ses efforts portaient leurs fruits. Ses joues étaient à présent presque sèches. Par contre, ses yeux restaient rouges et lui piquaient toujours. On peut pas tout avoir, hein. Attendez, si cela se trouvait, il ne revenait pas pour elle. Aish, plus débile tu meurs. Il avait oublié quelque chose, voilà. C’était ça. Sauvée.
Faux. C’était bien pour elle. On lui murmura quelque chose et elle ne put s’empêcher de sursauter. Discrètement. Elle se retourna assez soudainement, et se retrouva bien vite nez à nez avec l’inconnu de tout à l’heure. Elle le fixa un instant, mais ne tarda pas à reprendre sa position initiale. C’est à dire face au frigo, un paquet de ces raviolis chinois dans une main, le caddie dans l’autre. Elle rangea le paquet. Il lui dit ensuite merci pour son bon de réduction. Elle tourna la tête pour voir s’il le pensait réellement. Grand sourire. Elle se força un chouia pour le lui renvoyer. Mais sur le coup, son sourei ressemblait plutôt à une espèce de grimace.
« Tant mieux, je suis contente. »
Contente alors qu’elle avait les yeux tout bouffis ? Ce n’était pas très crédible. Mais pourtant, s’il avait réellement apprécié son geste, alors c’était sincère. C’était peut-être débile, mais c’était là tout ce qu’elle avait à lui donner en échange. Elle pensa à sa première question qui l’avait fait sursauter. Il avait remarqué sa détresse. En même temps, ce n’était pas trop compliqué, n’est-ce pas. Mais ce qui le différenciait des autres, c’était que lui, il avait eu le courage de venir lui parler. Hye Na ne lui dira pas qu’elle ne voulait pas de pitié. Parce qu’est-ce que la pitié, après tout ? Ceci ? Elle-même aimait se montrer généreuse, et n’aimait pas qu’on remette à chaque fois l’excuse de la pitié sur le tapis. Des gens sympas, ça existe. C’était difficile à trouver, mais Hye Na était sûre que cela pouvait se trouver, avec un peu de volonté. Si elle voulait se retrouver seule ? Même entourée de ces centaines de clients, la jeune fille ne s’était jamais sentie aussi seule qu’en ce moment. Et puis, il semblait la personne idéale à qui se confier. Elle ne le connaissait pas, peut-être que s’était la première et la dernière fois qu’ils se verraient. Il ne pouvait donc pas la juger.
Hye Na venait de ranger un paquet de chips dans le congélateur. Pas de panique.
Alors, par quoi devait-elle commencer, dans ce cas ? Par Jin Nae ? Le fait qu’elle n’arrivait plus à joindre les deux bouts ? Cette robe, qui lui faisait de l’œil mais qui lui était inaccessible ? Ses frères et sœurs qui la pompaient quotidiennement, et à qui elle devait faire le petit déjeuné, le dîner et le souper, et ce, tous les jours ? Par sa mère mourante ? Ou par l’étiquette de sa nouvelle petite culotte qui la grattait ?
« Vous allez vous moquer… »
Elle marqua un temps d’arrêt. Son rire s’étrangla dans sa gorge. Il y avait vraiment de quoi rire, en fait.
« Je suis tombée amoureuse d’un gay. »
Nouveau temps de pause.
« Encore plus amusant : je viens seulement de me faire à l’idée que le prince charmant n’existait pas. »
Après tout ce temps, et surtout, toutes ces déceptions. Elle reporta son attention sur son caddie, honteuse. Elle rougissait légèrement. C’était bien la première fois qu’elle faisait un truc pareil. Se confier à un inconnu. Elle prit un autre paquet dans le caddie pour le ranger. A croire que ce couple avait dévalisé ce rayon où il faisait sûrement un truc genre 3 degrés. Les méchants. Ils avaient tout prévu.
« Mais je veux pas non plus vous ennuyer avec ces histoires débiles. »
Ce qui était vrai. Merde, elle était trop petite pour ranger le paquet en haut du frigo. Son bras était trop court. Super.
Dernière édition par Moon Ha Na le Dim 7 Mar - 18:49, édité 10 fois |
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