« Ahn Iseul Ae » from bastard team ♥
messages : 198 date de naissance : 13/11/1988 here since : 01/03/2010 my age : 35 where am i? : somewhere, don't really know .. try to catch me ? my mood : flyin' so hiiigh .. my job : you don't wanna know ..
| Sujet: ▬ Iseul Ae Mer 3 Mar - 4:02 | |
| Ahn Iseul Ae obsession. this is what I am for you, right ?
| NOM: Ahn. PRÉNOM: Iseul Ae. ÂGE: 21 ans. ORIENTATION: Bisexuel. PARTICULARITÉ: Il est assez instable. Double face. GROUPE: Heartless AVATAR: Lee Joon { MBLAQ |
about who i play« Je ne me suis jamais sentit aussi bien de toute ma vie … » « Menteur. Je suis certain que t’as déjà fait pire … » « Pire, oui. Mais jamais avec autant d’intensité … » Les lèvres d’un jeune homme venaient délicatement glisser contre son épaule, se dirigeant avidement vers le cou. Une main aux longs doigts fins l’arrêta, un grognement d’insatisfaction résonna dans la pièce. L’un des deux jeunes hommes bougea, se relevant pour sortir du lit, laissant l’air ambiant refroidir son être. « Iseul-oppa … Je peux savoir pourquoi tu reviens me voir .. ? » « Tu le sais … » Une nouvelle plainte monta tandis que le jeune toujours sous la couette regardait son homologue se vêtir, probablement prêt à foutre le camp. Comme à chaque fois. Ils passaient la nuit ensemble, s’amusaient comme des petits fous, et dès que le soleil pointait le bout de ses rayons, le plus vieux n’était plus là. « Tu ne pourrais pas rester, pour une fois ? » « Non, Jae. » Encore une fois, la même réponse. Iseul enfila son chandail, retournant sur le pas de la porte pour attraper un petit sac. Sa main glissa à l’intérieur, attrapa quelques pilules, les glissa dans sa poche. Puis il se dirigea à pas feutrés vers le jeune homme qui s’était redressé, à moitié couvert par la couverture. Ses bras se tendirent, agrippèrent les épaules de son aîné qui se pencha malgré lui. « Garde le reste … » « …Non, je ne le sais pas. » Petit soupir d’exaspération. Les lèvres du plus jeune vinrent agripper les siennes, dernière tentative désespérée. Iseul le repoussa, se redressant, lui tournant d’ores et déjà le dos. « Je reviens parce que tu baises bien. Bonne journée, Jae Hyuk. » La porte se refermait sur ses talons.
« Cet enfant est la pire chose qui nous soit arrivée, Min Ha … » Une jeune femme se relevait avec peine, les yeux pratiquement clos. Sa main glissait avec grâce contre le dossier de la chaise de son mari, laissant un soupir résonner dans la pièce. « Je ne peux rien y faire, tu le sais parfaitement. Ce fils, tu le voulais … » « Je ne voulais pas d’une ordure, Min Ha. Je voulais un fils à mon image. » « Et c’est ce que tu as reçu, une parfaite réplique de ce que tu es, Song Hyun. » Le coréen relevait la tête, la bouche légèrement ouverte. Offusqué ? Oui, il l’était. Et, étonnamment, il en avait l’habitude. Avec Iseul Ae comme fils, « calme » et « répit » étaient des mots qu’il avait dus effacer de son vocabulaire. Le père de la famille Ahn se relevait, le visage à nouveau apathique. Donner le bon exemple, c’est ce qu’il aurait dû faire, et ce depuis le plus jeune âge de sa progéniture. Mais en bon homme d’affaire qu’il était, le travail avait surmonté toutes autres priorités. Le travail ayant rapidement été éclipsé par le désir de sentir les Wons sous ses doigts … « Tu ne penses qu’à ta petite personne, mon cher. » La claque. La femme eu les yeux plein d’eau, prêts à déborder, alors que ses fins doigts venaient caresser la rougeur qui marquait désormais son visage. « Si jamais tu oses me reparler sur ce ton … » « Qu’est-ce que tu feras, hein ? Tu n’as jamais eu à lever le petit doigt, comment pourrais-tu trouver la force de lever la main sur ta propre femme ? » « Tu n’es qu’une idiote. Iseul te ressemble. C’est ta copie conforme, pas la mienne … »
« Tu vas y passer, Jong Mi ! » Un coussin volait, venait s’abattre contre l’un des vases hors de prix de sa mère. La jeune femme se levait rapidement, filant droit vers la cuisine, qui en ce moment semblait être la meilleure cachette pour éviter les foudres de son grand-frère. « Je te déteste. » « Oh, moi aussi je t’aime, mon chou … » Un autre coussin prenait son envol, émettant un bruit étrange lorsqu’il frappa le mur. Jong Mi et Iseul Ae. Chat et chien. Maître et esclave. Elle lui demandait quelque chose, il le faisait. Simplement parce que depuis maintenant dix-neuf ans, sa cadette lui tombait sur les nerfs. Ils étaient tout simplement incompatibles. Il se demandait même si tout ce la n’était pas un coup monté. Il n’avait jamais été sage, gentil. En voyant que le jeune homme avait un caractère de feu, ses parents avaient peut-être décidés de lui donner une leçon. Non. C’était idiot. Le jeune homme entendit rapidement un bruit d’assiette s’écrasant au sol, poussant d’ores et déjà un soupir d’exaspération. « Oups … Iseuuuul ? » « CRÈVE ! »
Vendredi. 13 nov. 2oo9. Un petit cliquetis. Puis le raclement de gorge d’une personne dont le nom m’échappe complètement. Je relève la tête vers l’homme affreusement vêtu qui m’explique que si la séance se déroule sous enregistrement, c’est purement pour des « fins scientifiques ». J’acquiesce. Et c’est à se moment là qu’il se met à me poser ses questions, notant tout sur un papier – alors que je suis certain qu’il dessinait, vu son air tellement passionné … « Ahn Iseul Ae. J’ai 21 ans. Mes parents m’ont forcé à venir ici. […] Non, je n’ai pas de problèmes. De quoi que ce soit, d’ailleurs. […] Ils auront beau dire ce qu’ils veulent, je crois être le mieux placé pour répondre à vos stupides questions. […] Je n’ai rien fait ce soir là. Ma colocataire m’a forcée à regarder un film avec elle. J’ai passé une soirée normale – mais tout de même nulle. Toutefois, je ne vois pas en quoi votre question à un rapport avec moi. […] Non, je n’ai jamais frappé personne. Pas à ma connaissance. Il m’est arrivé de réagir fortement, je sais parfaitement que je suis impulsif. Mais pas assez pour sauter sur quelqu’un. […] Vous ne me croyez pas ? … » Je serre doucement mes doigts contre le bas de mon chandail, me permettant probablement de garder mon calme. Quinze minutes. Cela faisait seulement quinze minutes que mon calvaire avait débuté et j’ai l’impression que cet énergumène glandait devant moi depuis quatre jours. Il se racle la gorge une nouvelle fois avant de sortir des trucs d’un sac – truc que je reconnais comme étant de la drogue. ‘Vous en prenez, non ?’ Je lui fais un signe de négation. Le sourire lui monte aux lèvres. C’était quoi, un interrogatoire de police ? Mes mains se serrent encore un peu. Jusqu’à-ce que je remarque mes jointures se teintant de blanc. L’homme relève la tête. ‘Mensonge’ Il fait un large signe de la main et j’entends clairement la porte s’ouvrir. Je tourne la tête avec nonchalance. J’aperçois mes parents. L’interrogatoire aura duré vingt et une minutes, trente-sept secondes et une chaise tombant à la renverse. Je me suis sauvé, poussant mon père au sol, laissant un « Allez tous crever » résonner entre les murs du cabinet du psychologue. about my real selfPSEUDO: Hwannie / Fee ÂGE: 18 ans. COMMENT VOUS ÊTES ARRIVÉ ICI: Par tapis volant, j’ai fait du pouce … PRÉSENCE SUR LE FORUM: As much as I can ? OÔ AUTRE: j’aimeKoya? Beuuh .. DOUBLE COMPTE: // EXEMPLE RPG: - Spoiler:
Depuis quand Mi Hwan était-il si déstabilisant ? Non, en fait … Depuis quand arrivait-il, d’une facilité déconcertante, à déstabiliser son chef ? Il était vrai qu’à première vue, le jeune homme n’inspirait pas la confiance. Il ne donnait pas envie de le côtoyer. Et pourtant … Pourtant, Jun Hae était la personne qui en savait le plus sur lui. Il en connaissait peut-être plus que sa propre famille. Quelques paroles. Rien de bien extravagant. Mais il avait voulu le connaître. Et à voir où ils en étaient – lui du moins -, il aurait peut-être dû faire comme avec tous les autres : les laisser pourrir dans leur propre petit monde. C’était étonnant de voir à quel point une personne, aussi simpliste soit-elle, pouvait facilement mettre quelqu’un à l’aise. C’est inconscient, il faut l’avouer. On ne se dirige pas vers quelqu’un sans avoir une idée préconçue de sa personne. Oh, il à l’air gentil. Lui semble arrogant, tandis que lui est totalement imbu de lui-même. Tout le monde le fait. Tout le monde juge au premier regard. Pas Mi Hwan. Pourquoi retournait-il toujours vers son hyung ? Il se sentait bien, c’est tout. Et puis, comment n’aurait-il pas pu s’attacher à lui. C’était vrai qu’il lui était redevable. C’était vrai que Jun Hae avait des allures de prince et qu’il se plaisait à les laisser voir. N’empêche, c’était là de petits détails qui l’empêchaient de lui faire à lui ce qu’il aurait normalement fait à tous. Je pensais vraiment.. avoir mal compris.. Parce que ça aurait changé quelque chose ? Pour Jun Hae, peut-être, mais pour lui, aucunement. Ce n’était pas une petit erreur de compréhension qui l’aurait freiné, certainement pas. Il aurait pu. Il aurait dû. Jun était tellement près … Il aurait pu le toucher, laisser ses lèvres frôler sa peau, peut-être même le bout de ses doigts. Mais sur le coup, il n’y avait pas pensé. Il fallait le comprendre. Se retenir, voilà une chose qui, en ce moment, lui semblait totalement – ou presque – impossible. Mais pourtant … Pourtant, la réaction du plus vieux ne lui échappa pas, même si elle aurait dû passer inaperçue. Depuis quand Jun Hae semblait-il si perdu ? Depuis quand un simple regard de la part de son hyung le faisait presque sourire ? Le grand brun laissa sa tête verser vers l’arrière, fermant les yeux. Quitte à regarder le plafond, pourquoi ne pas laisser libre cours à son imagination. Et puis, par chance, peut-être que le sommeil viendrait rapidement l’assomer. Il se réveillerait ensuite, bien enfouit sous sa couette, se rendant compte que tout n’était que pures fantaisies. L’imaginaire de l’être humain pouvait emprunter un nombre incalculable de chemins lorsqu’il avait déjà une source forte d’inspiration. Le crissement du matelas le ramena doucement à la réalité. Venait-il réellement de se coucher .. ? Se rendait-il seulement compte à quel point cette position le rendait vulnérable ? Mi Hwan releva la tête, posant les yeux sur son aîné. Déception. Il se tenait au cadre de métal, comme si le meuble était sa dernière chance, sa bouée de sauvetage. Et dans un sens, ça le fit sourire. Il le prenait tellement de court. Malgré les airs d’impassibles qu’il pouvait parfois se donner, Jun venait seulement de lui prouver que ce n’était qu’une face. Et toi, Hwan.. Depuis quand ne finis-tu pas ce que tu as commencé ? Tentait-il de … le mettre au défi ? Il était bien mal tombé, si c’était le cas. « Depuis quand as-tu décidé que j’abandonnais si facilement ? » Depuis quand posaient-ils autant de question, d’ailleurs ? Subitement, sans aucunes raisons apparentes, Mi Hwan se releva, repoussant la chaise à sa place d’origine. Ses regard se posa fixement sur le visage du chef de la confrérie avant de se poser sur le matelas du haut. Il contourna finalement le lit, stoppant son petit manège à l’une des extrémités du meuble, avant de poser ses mains contre le métal. Aller dormir, maintenant ? Oui. Ça aurait été la solution logique que toute personne légèrement sensée aurait choisit. Mais lorsqu’une seule et même personne vous revenait inlassablement en tête, de surcroit votre meilleur ami … Il y avait un problème. Contrairement à son idée initiale – qui aurait été de sauter sur le lit du haut -, il se glissa sur le lit du bas. Derrière Jun Hae. Il s’en était rendu compte, c’était indéniable. La subtilité, voilà ce qui lui manquait. Le brun rapprocha lentement son visage de l’épaule du plus vieux, y posant à peine son menton. Intuitivement, c’est vers l’intérieur de son cou qu’il se tourna par la suite, y laissant une nouvelle fois son souffle s’y heurter. « Et puis … Dois-je vraiment tout terminer dès la première approche .. ? Ce ne serait plus .. amusant, Jun … » Cette proximité … C’était déjà trop. Un peu moins qu’auparavant. Mais tout de même … Ce n’est qu’un jeu, non ? Et apparemment … il n’y a aucune règle. Jouons, jouons jusqu’à ce que l’un de nous perde … Hwan laissa un sourire fendre son visage. Et, involontairement, il laissa ses lèvres frôler la peau de son hyung. Pour ensuite se laisser tomber sur le lit, le visage aussi neutre qu’auparavant. Le brusquait-il ? Comment pouvait-il le savoir, de toute façon … Il était confus. Par sa propre faute .
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